En premier lieu, lors du collage des mandalas sur le cadre du cube, nous avons fait l’erreur de coller celui-ci du mauvais côté du cadre, soit à l’extérieur de la boîte. Par conséquence, nous pouvions voir l’acétate rouge lorsque nous regardions notre cube. Nous avons dû le décoller et le recoller du bon côté. Malencontreusement, il y avait des résidus de colle visibles.

 

En second lieu, lors de l’assemblage des mandalas sur la structure de bois, une partie de ceux-ci étaient visibles sur la structure, car nous les avons collés beaucoup trop proche des bords des poteaux. Donc, lors du montage du cube, nous pouvions voir le papier de mandala, l’acétate rouge, ainsi que le ruban adhésif à double sens. Pour réparer notre erreur, nous avons commencé par enlever les bouts que l’on voyait avec un x-acto, puis nous avons décidé de mettre des bandelettes de cartons noir pour cacher les imperfections.

 

En troisième lieu, nous nous sommes rendu compte que pour les deux derniers mandalas, il n’y avait aucune place pour coller ceux-ci sur des poteaux. Nous avons donc eu l’idée de créer des bandelettes qui seront pliées et collées aux côtés des poteaux et des mandalas adjacents.

 

En quatrième lieu, un de nos premiers dilemmes était de trouver une manière de coller et  de créer un cube extrêmement solide afin que celui-ci puisse supporter sa masse et celle de plusieurs mandalas. Il devra aussi tenir au plafond sans se briser.

 

En cinquième lieu, nous devions trouver une nouvelle façon de coller nos poteaux pour créer notre cube. Plusieurs d’entre eux étaient déjà cloués ensemble, donc nous ne pouvions pas rajouter d’autres clous, car cela aurait engendré le bris de la structure. En guise de solution, nous avons décidé de coller notre boîte grâce à de la «superglue».

 

En sixième lieu, le problème le plus important était notre difficulté à ne pas perdre patience lors du découpage des mandalas à l’aide de l’x-acto, car cette étape du projet est cruciale à la réussite de celui-ci. Ce processus donne vie à notre fractale, car un mauvais découpage des mandalas aurait nuit immensément au rendu de notre boite.

 

Pour conclure la liste de nos difficultés qui semble infiniment longue, notre dernier problème était notre empressement lors du collage des acétates rouges sur nos mandalas. Nous voulions nous dépêcher, donc nous avons placé sur le tape à double sens chaque côté de l’acétate en même temps, créant ainsi plusieurs bulles d’air, ruinant le résultat final du mandala «rouge». Insatisfaits, nous devions arracher l’acétate et recommencer à nouveau.